Gabon-ONU : quand le plan B de Jean PING rattrape les émergents au dialogue sans dialogue.
Mes chers amis et lecteurs, dans la vie la vérité prend les escaliers et le mensonge l’ascenseur. Eh oui plusieurs gabonais affamés sont allés au dialogue sans dialogue des émergents prétendant que cette messe va régler la crise. Beh non vu que le problème mieux les questions principales qui sont au cœur de cette crise n’étaient nullement inscrites à l’ordre du jour chez les vautours émergent affamés.
- Qui a gagné l’élection présidentielle du 27 aout 2016 ?
- Qui a donné l’ordre de tuer les gabonais ?
Selon le maître chanteur et chef de fils des affamés, René Ndemezo’o Obiang ,l’élection est derrière nous il faut aller au dialogue pour solder la crise au Gabon. Cette déclaration est reprise par ces disciples de la faim et de l’immorale. Fait normal, car en allant au dialogue sans dialogue ces derniers ont émargé pour 500.000 Fcfa (perdiem simple participant en 10 jours) et 1.000.000 Fcfa (pour les associations sur 10 jours). Voici le prix d’achat des consciences de ces vautours émergents. Triste pour une population qui souffre et croupis dans la misère.
Le comble est que les pseudos acteurs politiques qui prétendent aimer le pays sont aujourd’hui sous les chapiteaux à Angodjé pour les perdiemes. Parmi eux, Mangaga Moussavou, Bruno Ben Moubamba , Micke Jocktan et d' autres insignifiants sans honneur. Ils perçoivent 1.000.000 Fcfa par jour et par parti politique, une allocation trahison. Alors prenez vos calculatrices pour avoir l’idée de la saignée. Voici la bonne gouvernance version Ali Bongo et ses 40 opposants voleurs.
Mais comme on dit, le second nom de Dieu c’est le temps et c’est grâce à lui que la vérité arrive toujours. Durant des mois, 8 au total, les émergents nous chantent qu’il n’y a pas de crise au Gabon et hup les mêmes organisent un dialogue sans dialogue. Voyant qu’aucun partenaire étranger n’avait accordé de l’importance à cette messe notre IBUBU national ne sait plus à quel saint se vouer. Face à lui, un Jean PING qui torpille au loin toutes ses initiatives. Les résultats recherchés par les usurpateurs émergents ne font pas surface depuis bientôt 8 mois. Les gabonais en parlent depuis, ils ont l’impression de vivre dans un Etat sans chef d’Etat.
Oui depuis la fin des élections truquées par Ali Bongo ce dernier vit effacer. Il se câche et se sent ignorer en un mot il est méconnu par tous. Si on peut dire que ce pouvoir avait une certaine assise lors du premier mandat volé à AMO mais avec ce deuxième mandat la pilule ne passe pas tant sur le plan national qu’international. Ali Bongo devient un infréquentable aujourd’hui, il ne peut plus mêttre les pieds en Europe lui qui aime la belle vie de l’occident.
Fort de se constat, l’ONU vient enfin de se saisir de l’affaire en mandatant Alpha Condé comme médiateur. Sa mission préparer le dialogue entre Ali Bongo et Jean Ping hummm donc le dialogue sans dialogue pert son sens. Cette nouvelle donne des sieurs froides aux opposants affamés car ils avaient déjà fait les petits calcules.
Du coup René Ndemezo’o, Ben Moubamba et Manganga Moussavou, Mike Jocktan qui se voyaient déjà au sommet cogitent à voix haute depuis cette annonce. Eh oui la vérité arrive toujours et les questions principales seront posées sur la table. Nous allons savoir enfin la vérité sur cette élection car le camp du Président PING se dit serein. Après le sommet des chefs d’Etat africain, le médiateur recevra le Président Jean PING qui à son tour déposera ses préalables.
La réponse aux deux questions préalables entrainerait inévitablement la chute d’Ali Bongo et le pouvoir tremble. Car les émergents ne peuvent pas refuser la recommandation de l’ONU si non Ali Bongo sera de plus en plus isolé. Face à une telle situation le camp PING doit être prudent car celui des Bongo peut déclencher les violences. D’ailleurs c’est la seule voie qui reste déclencher un climat de tension comme en RDC pour justifier le maintien au pouvoir. Il est très important de suivre cette affaire parce qu’elle annonce un nouveau tournant dans le contentieux électoral du Gabon.
Le SG de l’ONU attend de son émissaire des résultats concrets qui aboutira à la résolution de la crise gabonaise. Fini les tergiversations des chefs d’Etats africains et français sur la crise gabonaise. Fini le dialogue sans dialogue des émergents et anciens pédégistes aux statuts d’opposant affamés.
Dans 3 mois le médiateur déposera les conclusions sur le bureau du SG de l’ONU pour l’organisation d’une CONFERENCE NATIONALE SOUVERAINE. Ainsi va dans les eaux de l’Ogooué les attentes de nos affamés et des vautours émergents. Jean PING avait un plan B cher René Ndemezo’o et voici ce fameux plan qui est à son début d’exécution.